Les mois de janvier

D'une façon générale, les grandes variations de la mortalité d'un mois sur l'autre sont la résultante des conditions météorologiques affectant le trafic à la hausse ou à la baisse et modifiant les comportements de conduite dans le sens d'une baisse des vitesses pratiquées ou d'une hausse. Cela concerne principalement les mois d'hiver et les mois d'été car ces mois présentent souvent d'une année sur l'autre de très forts contrastes dans la durée.

Les mois de janvier n'échappent pas à ce constat. Ils alternent souvent hausse et baisse de façon assez nette. Ces variations touchent essentiellement les usagers automobilistes et les piétons, les usages à deux-roues étant moins présents sur les routes l'hiver.

Janvier 2022 : La mortalité routière repart à la hausse.

Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 260 personnes ont perdu la vie sur les routes de France  métropolitaine en janvier 2022. Comparé au mois janvier 2021 où l'on avait déploré 180 morts sur ces routes (171 en données provisoires), 80 personnes de plus ont été tuées, soit une hausse spectaculaire de 44%. Si on compare ce bilan aux années antérieures, c’est, par exemple, 9% de plus par rapport à 2019. Janvier 2022 est le 3ème plus mauvais mois de janvier des dix dernières années.

En année glissante sur les 12 derniers mois, la mortalité repasse au-dessus de la barre symbolique des 3000 personnes tuées soit 3027, correspondant à une hausse de 23% par rapport à 2021, mais restant toutefois encore inférieur à 2019 de -7%.

Rappelons que janvier 2020 avait été déjà un mois déjà inquiétant avec 263 personnes tuées.

En revanche, le nombre d’accidents reste sous la barre des 4 000 et celui des blessés sous la barre des 5 000. Cela traduit donc une plus forte gravité des accidents. Le taux de mortalité de ce mois de janvier est 69 pour 1000 accidents corporels soit 14 de plus que la moyenne d'un mois de janvier.

Tous les usagers connaissent une tendance à la hausse de la mortalité depuis quelques mois, en particulier les cyclistes et les piétons. Pour ce qui concerne les piétons,  janvier 2022 est un des mois les plus meurtriers avec 53 piétons tués.

Janvier 2022 : La mortalité routière repart à la hausse.

Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 260 personnes ont perdu la vie sur les routes de France  métropolitaine en janvier 2022. Comparé au mois janvier 2021 où l'on avait déploré 180 morts sur ces routes (171 en données provisoires), 80 personnes de plus ont été tuées, soit une hausse spectaculaire de 44%. Si on compare ce bilan aux années antérieures, c'est 9% de plus par rapport à 2019. C'est le 3ème plus mauvais mois de janvier des deux dernières années.

En année glissante sur les 12 derniers mois, la mortalité repasse au-dessus de la barre des 3000 personnes tuées soit 3027, correspondant à une hausse de 23% par rapport à 2021, mais restant toutefois encore inférieur à 2019 de -7%.

Rappelons que janvier 2020 avait été déjà un mois inquiétant avec 263 personnes tuées.

En revanche, le nombre d'accidents reste sous la barre des 4 000 et celui des blessés sous la barre des 5 000. Cela traduit une plus forte gravité avec un taux de mortalité de 69 pour 1000 accidents corporels.

Tous les usagers connaissent une tendance à la hausse depuis quelques mois, en particulier les cyclistes et les piétons. Pour ce qui concerne les piétons,  janvier 2022 est un des mois les plus meurtriers avec 53 piétons tués.

Janvier 2021 : La pandémie fait encore reculer la mortalité routière

Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 171 personnes ont perdu la vie sur les routes de France  métropolitaine en janvier 2021. Comparé au mois janvier 2020 où l'on avait déploré 264 morts sur ces routes, 93 personnes de moins ont été tuées, soit une baisse spectaculaire  de -35 %. En année glissante sur les 12 derniers mois, la mortalité a chuté de - 28%).  Cette baisse spectaculaire est la résultante de la période de couvre-feu que la France connait depuis le 14 décembre 2020 entre 20h et 6h00. Il a été étendu de 18h à 6h à partir du 12 janvier 2021 pour 25 départements, et le samedi 16 janvier pour toute la France métropolitaine).

Rappelons que Janvier 2020 avait été un mois inquiétant puisque le plus meurtrier depuis dix ans.

Le nombre d'accident a également baissé de -24%, ce qui fait que la gravité est dans la moyenne que la moyenne soit 49 personnes tuées pour 1000.  Il est évident que le couvre-feu a un double effet bénéfique sur la sécurité routière. Il fait chuter le trafic routier, principalement le trafic motorisé d'une part et d'autre part, il le fait chuter la nuit, période où le taux de gravité est le plus élevé. Par mode, tous les modes bénéficient de cette baisse de la mortalité, principalement les piétons particulièrement exposés à en cette période de l'année.

Février devrait encore connaître une baisse de la mortalité au regard de l'année 2019, puisque le couvre-feu se prolonge et qu'en 2020, le confinement n'avait commencé qu'à mi-mars.

Janvier 2020 : Nette hausse  de la mortalité de +9,7%

Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 260 personnes ont perdu la vie sur les routes de France  métropolitaine en janvier 2020. Comparé au mois janvier 2019 où l'on avait déploré 237 morts sur ces routes, 23 personnes de plus ont été tuées, soit une hausse de +9,7 %. En année glissante sur les 12 derniers mois, la mortalité est stable (+0,2%). Cette hausse de la mortalité avec également une forte hausse du nombre de blessés (+18%) par rapport à janvier 2019 peut s'expliquer en partie pour deux raisons. La première résulte comme il est fréquent en janvier des conditions météorologiques qui peuvet être très variables d'une année sur l'autre. Alors que janvier 2019 a été un janvier classique, plutôt froid avec un épisode neigeux, janvier 2020 a été assez pluvieux et doux, plus propice aux accidents imliquant des automobilistes d'où leur mortalité qui pèse environ 3 à 4% sur la hausse de 9,7%. Janvier 2020 a été également marquée par la grève des transports qui s'est achevée en cours du mois. Janvier a donc été favorable à l'usage du vélo, ce qui se traduit par une augmentation de plus de 12% de leur mortalité, et qui pèse environ 6% sur les 9,7% de hausse de la mortalité de ce mois.

Remarquons que la mortalité en janvier est relativement stable depuis 2012 et que janvier 2020 se situe juste dans la moyenne des dix derniers mois de janvier (260)

Janvier 2019 : Hausse  non significative de la mortalité de +3,9%

Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 238 personnes ont perdu la vie sur les routes de France  métropolitaine en janvier 2019. Comparé au mois janvier 2018 où l'on avait déploré 229 morts sur ces routes, 9 personnes de plus ont été tuées, soit une hausse de +3,9 %. En année glissante sur les 12 derniers mois, la mortalité est en  baisse de -4,5 %. Janvier 2018 avait constitué le mois de janvier le moins meurtrier jamais enregistré. Janvier 2019 confirme cette baisse d'autant que ce mois fut froid et humide contrairement à l'année dernière où il fut le plus doux jamais enregistré. De surcroît, il est difficile d'évaluer l'impact de la neutralisation des radars dans le cadre du mouvement des gilets jaunes mais on peut faire l'hypothèse qu'elle n'incite pas à la modération des vitesse. Il faut également avoir à l'esprit que ce bilan est provisoire. Celui de janvier 2018 à la même date était de 235 morts. Il a été corrigé pour l'instant à 229 mais il n'est pas encore définitivement validé. Il peut donc y avoir au regard de l'estimation une variation de plus ou moins dix morts avec le bilan définitif, ce qui correspond à une marge d'erreur de 5%. C'est piurquoi toute hausse ou baisse de 5% doit être considéré en l'état de l'analyse comme non significative.

Janvier 2018 : Baisse sensible de -7,9 % de la mortalité en janvier

Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 235 personnes ont perdu la vie sur les routes de France  métropolitaine en janvier 2018. Comparé au mois janvier 2017 où l'on avait déploré 255 morts sur ces routes, 20 personnes de moins ont été tuées, soit une baisse  de -7,9 %. En année glissante sur les 12 derniers mois, la mortalité est en légère baisse de -1,7 %. Janvier 2018 égale janvier 2014 (lire baromètre des mois de janvier). Il constitue le mois de janvier le moins meurtrier jamais enregistré. Il suit un mois de décembre déjà significativement à la baisse. S'agit-il en fin d'un renversement de tendance annonçant une reprise d'une baisse régulière de la mortalité. C'est l'espoir formulé à travers les dernières mesures dévoilées lors du CISR de janvier. D'aucuns verront peut-être un phénomène d'anticipation de la baisse à 80 km/h sur les routes bidirectionnelles, phénomène déjà observée lors des annonces sur les radars en 2012. Janvier 2013 avait alors également connu une baisse substantielle de la mortalité. D'autres y verront l'impact des conditions météorologiques très particulières de ce mois de janvier maussades, un des plus pluvieux jamais enregistrés. N'oublions pas que janvier 2017 fut froid et sec. Ce sont deux contextes météorologiques opposés qui se traduisent par une importance des déplacements différente et donc des expositions risques moindres, particulièrement pour les automobilistes, pour le cas de ce janvier pluvieux. Cette hypothèse avait déjà été formulée pour décembre dernier.

Attendons le bilan de février pour se déterminer sur l'évolution de cette tendance. En effet, février 2017 avait connu une des plus faibles mortalités mensuelles, la plus faible jamais enregistrée avec février 2012 et mars 2013. Ce fut le mois de février le plus chaud sur la période 1900 /2017 alors que février 2018 vit actuellement une période plutôt hivernale.

Encore une fois, les variations des conditions météorologiques d'une année sur l'autre est l'explication principale de grands écarts dans la mortalité d'un mois d'une année sur l'autre. L'impact peut aller au-delà de + ou - 10 %.

Rappel de l'actualité :

9 janvier : Annonce de 18 mesures au CISR

Janvier 2017 : Nette baisse  de -8,9 % par rapport à Janvier 2015 
  Janvier démarre sous de mauvais auspices. Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 257 personnes ont perdu la vie sur les routes de France  métropolitaine en janvier 2017. Comparé au mois janvier 2016 où l'on avait déploré 236 morts sur ces routes, 21 personnes de plus ont  été tuées, soit une hausse de + 8,9%. Les mois de janvier alternent hausse et baisse depuis cinq  ans, traduisant la sensibilité de ce mois aux conditions météorologiques. Néanmoins, janvier 2017 se situe au-dessus de la moyenne qui est de 246.

Depuis janvier 2014, la mortalité est en hausse régulière, en moyenne de 2% par an, dont celle des usagers des véhicules de tourisme de
+9,5%. Quant à la mortalité piétonne, elle devient franchement préoccupante avec une hausse de +30% pendant la même période (décembre 2013-janvier 2014).

Peut-on pour autant tirer que la politique de sécurité menée depuis trois ans est inopérante 2015 ? Difficile d'en juger face à ce climat ambiant délétère qui n'encourage pas au respect des règles.

Force est de constater que la sécurité routière ne fait plus consensus. A-t-il d'ailleurs vraiment existé ?  Elle ne constitue plus aux yeux des politiques en France (mais aussi dans certains pays de l'UE touchés par le même mal) un enjeu. Elle est plutôt vécue comme une source d'ennui. Au sein d'un ministère de l'Intérieur, elle devient un sujet annexe de sa politique de sécurité publique.

 La mortalité routière devient un indicateur de référence : la grippe va faire cet hiver 3 fois plus de morts que la route, entend t-on. Petit
à petit, s'installe ainsi l'idée que nous sommes proches du seuil sous lequel il sera difficile de descendre, en attendant la voiture autonome dont on nous promet monts et merveilles. Toutes les énergies et les financements sont maintenant orientés vers ce graal.

 

Par ce biais, la sécurité routière est en train de changer de paradigme, redevenant une composante des déplacements. Dans le triptyque
conducteur/véhicule/infrastructure, le conducteur sera de moins en moins l'opérateur central du système.

Rappel de l'actualité :

1er janvier : Le surteintage des vitres avant, les conducteurs de véhicules de société infractionnistes

8 janvier : 4 personnes tuées dans un accident d'autocar sur la RCEA

23 janvier : Installation du Conseil national de sécurité routière dans sa quatrième édition

Janvier 2016 : baisse significative de -10,7% par rapport à Janvier 2015

La mortalité routière de Janvier 2016 est marquée par une baisse significative de -10,7% par rapport à Janvier 2015 d'autant que ce mois a bénéficié d'un léger effet calendaire défavorable avec 5 dimanches contre 4 en janvier 2015. Janvier 2015 avait connu de son côté  une hausse significative à peu près du même ordre.

Faut-il en conclure que ce mois marque une inversion de la tendance à la hausse enregistrée depuis 24 mois ? Il est prématuré pour l'avancer d'autant que dans la série des mois de Janvier, on constate que Janvier 2015 avait connu une hausse anormale et que Janvier 2016 se situe au niveau de Janvier 2014.

On remarque néanmoins que pour la première fois depuis plus de 33 mois la mortalité des occupants des véhicules légers baisse et ce nettement avec 28 personnes tuées en moins. C'est exactement le nombre de vies épargnées entre Janvier 2015 et janvier 2016 alors que la mortalité des usagers vulnérables reste stable. C'est aussi l'inverse de décembre où la totalité des gains avait été obtenue chez les usagers vulnérables.

Il est possible d'y voir un effet météorologique. Janvier a été très pluvieux. La pluie augmente les risques d'accidents. Cela trouverait sa traduction dans une hausse de +5,2% ainsi qu'une hausse des victimes de +8,7%. Ces accidents se produisent généralement à des vitesses moindres qui pourraient expliquer en partie la baisse de la mortalité. Elle n'affecte pas trop les usagers vulnérables qui sont plus exposés par temps de pluie mais qui sont nettement moins nombreux.

Rappel de l'actualité

1er janvier : Gilet obligatoire pour les conducteurs de deux-roues motorisés
26 janvier : Promulgation de la loi sur la modernisation de notre santé - Assouplissement de l'encadrement de la publicité sur les boissons alcooliques
26 janvier : Extension des dispositions de dépistage d'alcool et de drogue au volant.




  
  
  
  
  


  
  
  
  
  


  
  
  
  
  


  
  
  
  
  


  
  
  
  
 

 

 

L'évolution de la mortalité des mois de janvier est un des mois les plus impactés par les conditions météorologiques tant elles peuvent être constrastés d'une année sur l'autre.  L'alternance nette  à la hausse ou à la baisse enregistrée depuis une dizaine d'année, traduit la sensibilité de ce mois aux conditions météorologiques. Cette sensibilité concerne essentiellement les automobilistes, les usagers deux-roues étant moins présent sur les routes.

 

Janvier 2017 : Hausse nette de +8,9% par rapport à janvier 2016

 

Janvier démarre sous de mauvais auspices. Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 257 personnes ont perdu la vie sur les routes de France  métropolitaine en janvier 2017. Comparé au mois janvier 2016 où l'on avait déploré 236 morts sur ces routes, 21 personnes de plus ont  été tuées, soit une hausse de + 8,9%. Les mois de janvier alternent hausse et baisse depuis cinq  ans, traduisant la sensibilité de ce mois aux conditions météorologiques. Néanmoins, janvier 2017 se situe au-dessus de la moyenne qui est de 246.

Depuis janvier 2014, la mortalité est en hausse régulière, en moyenne de 2% par an, dont celle des usagers des véhicules de tourisme de
+9,5%. Quant à la mortalité piétonne, elle devient franchement préoccupante avec une hausse de +30% pendant la même période (décembre 2013-janvier 2014).

Peut-on pour autant tirer que la politique de sécurité menée depuis trois ans est inopérante 2015 ? Difficile d'en juger face à ce climat ambiant délétère qui n'encourage pas au respect des règles.

Force est de constater que la sécurité routière ne fait plus consensus. A-t-il d'ailleurs vraiment existé ?  Elle ne constitue plus aux yeux des politiques en France (mais aussi dans certains pays de l'UE touchés par le même mal) un enjeu. Elle est plutôt vécue comme une source d'ennui. Au sein d'un ministère de l'Intérieur, elle devient un sujet annexe de sa politique de sécurité publique.

 La mortalité routière devient un indicateur de référence : la grippe va faire cet hiver 3 fois plus de morts que la route, entend t-on. Petit
à petit, s'installe ainsi l'idée que nous sommes proches du seuil sous lequel il sera difficile de descendre, en attendant la voiture autonome dont on nous promet monts et merveilles. Toutes les énergies et les financements sont maintenant orientés vers ce graal.

 

Par ce biais, la sécurité routière est en train de changer de paradigme, redevenant une composante des déplacements. Dans le triptyque
conducteur/véhicule/infrastructure, le conducteur sera de moins en moins l'opérateur central du système.

 

 

Janvier 2016 : Baisse significative de -10,7% par rapport à Janvier 2015

 

La mortalité routière de Janvier 2016 est marquée par une baisse significative de -10,7% par rapport à Janvier 2015 d'autant que ce mois a bénéficié d'un léger effet calendaire défavorable avec 5 dimanches contre 4 en janvier 2015. Janvier 2015 avait connu de son côté  une hausse significative à peu près du même ordre.

Faut-il en conclure que ce mois marque une inversion de la tendance à la hausse enregistrée depuis 24 mois ? Il est prématuré pour l'avancer d'autant que dans la série des mois de Janvier, on constate que Janvier 2015 avait connu une hausse anormale et que Janvier 2016 se situe au niveau de Janvier 2014.

On remarque néanmoins que pour la première fois depuis plus de 33 mois la mortalité des occupants des véhicules légers baisse et ce nettement avec 28 personnes tuées en moins. C'est exactement le nombre de vies épargnées entre Janvier 2015 et janvier 2016 alors que la mortalité des usagers vulnérables reste stable. C'est aussi l'inverse de décembre où la totalité des gains avait été obtenue chez les usagers vulnérables.

Il est possible d'y voir un effet météorologique. Janvier a été très pluvieux. La pluie augmente les risques d'accidents. Cela trouverait sa traduction dans une hausse de +5,2% ainsi qu'une hausse des victimes de +8,7%. Ces accidents se produisent généralement à des vitesses moindres qui pourraient expliquer en partie la baisse de la mortalité. Elle n'affecte pas trop les usagers vulnérables qui sont plus exposés par temps de pluie mais qui sont nettement moins nombreux.

 

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