Les mois de juin

 

Le mois de juin est le mois où la mortalité augmente habituellement pour passer au-dessus de la barre des 300 personnes tuées. Cette augmentation correspond à une augmentation de l'exposition au risque de tous les modes de déplacement. Les températures étant plus clémentes, les usagers vulnérables en particulier les deux-roues motorisés sont de sortie. Cette mortalité est davantage augmentée lorsque le week-end de la Pentecôte est inclus en juin. Ce WE reste un des WE les plus meurtriers.

Juillet 2022 : L’accidentalité routière poursuit une hausse inquiétante

Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 302 personnes ont perdu la vie sur les routes de France métropolitaine en juin 2022. Comparé au mois de juin 2021 où l'on avait déploré 289 morts sur ces routes, 13 personnes de plus ont été tuées, soit une hausse de 4 %. Sur le premier semestre, la hausse est de 25 %.  En année glissante sur les 12 derniers mois, la hausse est de 23 %.

Force est de constater que l’accidentalité est reparti à la hausse de façon significative malgré un contexte économique qui pénalise a priori le coût des déplacements avec une mortalité élevée (58 décès pour 1000 accidents corporels). Avec 6 447 blessés pour 5142 accidents, on dénombre 1312 victimes pour 1000 accidents.

Tout semble penser que l’on assiste à un phénomène de compensation après les périodes de confinement qui incite à se déplacer davantage et à être moins vigilant pour sa sécurité et celle des autres.

De surcroît, se sont ajoutés : la Pentecôte, une météorologie plus que favorable pour encourager les déplacements et des mouvements de grève induisant une circulation automobile. Le CEREMA constate d’ailleurs que les déplacements lors du mois de juin 2022 ont été légèrement plus importants qu'en juin 2021 (de l'ordre de +5 % en moyenne par rapport à juin 2021.

L’augmentation de la mortalité routière affecte en premier lieu les automobilistes qui revient au niveau des années antérieures avec une moyenne de 130 tués dans le mois. Les piétons sont les autres victimes avec 41 victimes soit 3 de plus qu'en juin 2021 et 8 de plus qu'en juin 2019. La mortalité cycliste pour juin 2022, reste à un niveau élevé. En revanche, la mortalité motocycliste, avec 62 tués, est largement inférieure à celle des mois de juin 2021 et 2019.

juillet 2021 : accidentalité routière, pas de retour encore à la normale 

Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 288 personnes ont perdu la vie sur les routes de France métropolitaine en juin 2021. Comparé au  mois de juin 2020 où l'on avait déploré 211 morts sur ces routes, 78 personnes de plus ont été tuées, soit une hausse de 37%. Sur le premier semestre, la hausse est de 7%  En année glissante sur les 12 derniers mois, il apparait  encore une baisse de - 9 %.

L'ONISR a choisi depuis le début de l'année de comparer 2021 à 2019 en considérant un retour à la normale, Cela donne pour le mois de juin, une baisse de 1% ; sur le semestre une baisse encore de 18% et en année glissante de de -19%. Les déplacements lors du mois de juin 2021 ont été  ainsi plus importants qu'en juin 2020. Ce niveau de trafic en juin 2021, par le Cerema  comporte un pic de l'ordre de +40 % par rapport à juin 2020 (au trafic encore faible malgré la levée des restrictions de déplacements au 2 juin)

Cette comparaison reste encore à nuancer tant les conditions de vie ne sont pas véritablement revenues à la normale.
Un couvre-feu a été mis en place en France métropolitaine sur la première moitié de l'année 2021 et le télétravail fortement recommandé. L'heure de début du couvre-feu est repoussée de 21 h à 23 h le 9 juin 2021, celui-ci est ensuite levé au 20 juin 2021.

On remarque aussi un taux de mortalité des accidents de 52 décès pour
100, inférieur de 4 unités avec 2019.  De ces constats, on peut supposer que l'effet du couvre-feu a pu jouer pour réduire le nombre d'accidents graves. C'est ce que démontre l'étude de l'ONISR. L'analyse de la diminution du nombre de tués selon les tranches horaires indique une plus forte réduction de la mortalité pendant les horaires de couvre-feu qu'en journée, ce qui explique la plus forte réduction du nombre de tués que du nombre de blessés.

Par catégorie d'usager, la mortalité cycliste est particulièrement élevée pour le mois de juin 2021 avec quasiment le double de tués par rapport au mois de juin 2019. Si cela peut s'expliquer par une augmentation de la pratique du vélo, cela laisse aussi supposer que les aménagements proposés et les comportements des cyclistes ne vont pas dans le sens d'une réduction du risque d'accident. La mortalité piétonne en juin 2021 est également en hausse par rapport à la période d'avant crise (juin 2019), et cela est encore plus marqué comparé au mois de juin 2020. Ainsi 37 piétons ont été tués en juin 2021, soit 4 de plusqu'en juin 2019 et 8 de plus qu'en juin 2020. Ce constat laisse supposer que la cohabitation des usagers en véhicule avec les piétons s'est détériorée avec comme exemple ; l'augmentation des accidents cyclistes ou trottenitiste/ piéton. La mortalité motocycliste, avec 83 tués, est supérieure au niveau de la moyenne de ces 10 dernières années. La météo du mois de juin 2021 était favorable à la pratique de la moto ajoutée à un vent de libération moins
propice à la prudence. La mortalité des automobilistes est plus élevée qu'en juin 2020 : 110 automobilistes ont été tués contre 101 en juin 2020, soit 9 tués de plus. Ce bilan est cependant très inférieur à celui du mois de juin 2019, ainsi qu'aux mois de juin des années précédentes (de l'ordre de 30 tués de moins). Cela traduit probablement l'effet couvre-feu. Les analyses restent donc toujours délicates à faire, puisque 2021 et 2020 ne seront pas comparables à 2019 et aux années antérieures et que rien ne permet de prévoir si l'accidentalité reviendra à des niveaux comparables comme la vie d'avant ?

 

 

Juin 2020 : Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 207 personnes ont perdu la vie sur les routes de France métropolitaine en juin 2020. Comparé au  mois de juin 2019 où l'on avait déploré 292 morts sur ces routes, 85 personnes de moins ont été tuées, soit une baisse de -29,1%. En année glissante sur les 12 derniers mois, il apparait  une baisse de - 11,1 %. Il est manifeste que la pandémie a eu un effet spectaculaire sur l'accidentalité routière. Cet effet a débuté dès février. Sur les six premiers mois de l'année, la mortalité routière baisse de -23,8% par rapport au premier semestre 2019, le nombre de victime baisse de -28,1% et le nombre d'accident corporels de -27,7%. Il s'agit du cinquième mois de baisse consécutive de l'accidentalité,et de la mortalité en particulier. La mortalité r outière est, dans ce contexte,passée sous le seuil symbolique des 3000 décès annuel en avril.

Il était à craindre une reprise de l'accidentalité ce mois de juin dans le cadre de la sortie du confinement qui s'est assouplie le 2 juin. Pour autant, le trafic n'a pas repris son niveau habituel, particulièrement en ce mois, habituellement particulièrement très circulé. Il est probable qu'il s'agisse d'une des explications de cette forte baisse de plus de 20% plutôt inattendue.

Une autre explication qui s'ajoute à la première serait un changement de comportement des usagers. Ces derniers, dans le contexte pandémique, se déplaceraient avec plus de prudence et de vigilance. La notion de gestes barrières, protectrice de soi mais aussi des autres aurait-elle trouvé une déclinaison sur la route ? Cela reste à évaluer et à mesure notamment dans les deux mois à venir.

A la différence des mois d'avril et mai, on remarque aussi que le taux de mortalité des accidents est inférieur cette fois-ci à la moyenne annuelle (50 tués pour 100 accidents contre 58, alors que ce taux s'était élevé à 68 en avril). Une explication serait que la baisse de la mortalité a, cette fois, essentiellement bénéficiée aux véhicules motorisés et pratiquement pas aux piétons et cyclistes.

Beaucoup d'enseignements seront à tirer de cette période inédite et des mois à venir sur l'évolution de l'insécurité routière.


 

Juin 2019 : Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 290  personnes ont perdu la vie sur les routes de France  métropolitaine en juin 2019. Comparé au mois de juin 2018 où l'on avait déploré également 290 morts sur ces routes, juin 2019 marque une stabilité. En année glissante sur les 12 derniers mois, la mortalité est en baisse de - 3,1 %. Sur le 1er semestre, elle est en relativement stable à -0,6%. Le second trimestre a donc effacé le premier trimestre marqué par une hausse essentiellement imputable aux très bonnes conditions météorologiques. En tenant compte du fait que ce mois de juin comptait le week-end de la pentecôte, ce bilan permet d'espérer la poursuite d'une reprise à la baisse de la mortalité. Par mode, on remarque d'ailleurs une hausse de la mortalité des automobilistes pour le deuxième mois consécutif. Alors que la hausse du premier trimestre était largement imputable à celle des usagers vulnérables, pour ce mois de juin, la situation s'est inversée et c'est la baisse de la mortalité des usagers vulnérables, peut-être imputable à l'effet canicule, qui annule la hausse de la mortalité des automobilistes.

 


 

 

 

Juin 2018 : Stabilité de la mortalité en Juin

 Selon le baromètre de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 294  personnes ont perdu la vie sur les routes de France  métropolitaine en juin 2018. Cette baisse concerne tous les catégories d'usagers à l'exception des deux-roues motorisés en lègère hausse. Comparé au mois de juin 2017 où l'on avait déploré 324 morts sur ces routes, 30 personnes de moins ont été tuées, soit baisse de  - 9,3 %. En année glissante sur les 12 derniers mois, la mortalité est en baisse de - 5,1 %. Sur le 1er semestre, elle est en baisse de -6,1%; La mortalité routière poursuit sa tendance à la baisse amorcée depuis décembre dernier. C'est la quatrième baisse consécutive. Faut-il y voir un effet anticipé de l'obligation de circuler à moins de 80 km/h sur les routes bidirectionnelles de rase campagne ? C'est probable d'autant que la mesure a fait largement la une des médias depuis ce début de l'année. Difficile pour un conducteur de ne pas avoir eu l'information et reçue des messages certes contradictoires sur les effets de la vitesse sur l'accidentalité mais suffisant pour faire réfléchir.

Il y a cependant encore des marges de progrès. D'abord parce que juin 2017 fut très médiocre puisqu'il fut un des plus meurtrier de la décennie, ensuite parce que le week-end de la pentecôte, un des week-ends de l'année les plus meurtriersse situait cette année en mai alors qu'il se situait en juin en 2017. Enfin, parce le moins mauvais mois de juin fut celui de 2016.Nous attendrons avec impatience le baromètre de juillet qui sera publié mi-août pour découvrir l'effet immédiat de la baisse de la vitesse autorisée à 80 km/h, un des mois traditionnellement les plus meurtriers de l'année.

 

Juin 2017 :  Selon le barométre de l'ONISR,  329  personnes ont perdu la vie sur les routes de France  métropolitaine en juin 2017. Comparé au mois de juin 2016, il s'agit d'une augmentation significative de + 15,4 %. Hormis février qui s'est avéré un mois atypique par sa forte baisse (-22,8 %), le bilan du premier semestre 2017 est alarmant. Il est en augmentation de + 3,9 % par rapport au premier semestre 2016 et de 14,6 % par rapport au premier semestre 2013, année de référence pour être la dernière année à avoir connu une baisse de la mortalité. Les premiers semestres d'une année représentant en moyenne 45,5 % de la mortalité annuelle, sans inversion de la tendance, le bilan de la mortalité en 2017 pourrait s'approcher des 3 600 personnes tuées, ce qui nous ramènerait au bilan de l'année 2012. Cette spirale à la hausse a débuté en janvier 2014 après une année 2013 encourageante. Elle a touché toutes les catégories d'usagers :  En trois ans et demi, la mortalité des usagers automobilistes a augmenté de + 10,9 %, celle des cyclistes de + 22,4 % et celle des piétons de + 18,3 %.  La mortalité des motocyclistes a augmenté de + 6,4 % avec une amplification très forte ce dernier semestre. C'est d'ailleurs la mortalité motocycliste qui affecte essentiellement le bilan de ce mois de juin.

Selon les classes d'âge, l'augmentation de la mortalité des plus de 65 ans pendant la même période est de + 30,5 %. Seul constat encourageant, la baisse de la mortalité des jeunes de 18/24 ans est de - 3, 3 % tout en restant fragile.

Les facteurs explicatifs de ces tendances à la hausse sont divers. Il est ainsi probable qu'une population vieillissante et toujours plus mobile se traduit par une augmentation de leur accidentalité. Celle des cyclistes  est également en partie le résultat de l'augmentation des kilomètres parcourus à vélo. On peut également avancer que la reprise économique se traduit pas un trafic routier plus important et donc des accidents plus nombreux.

Pour autant, il n'y aucune fatalité à subir de telles évolutions. Une politique de santé publique comme celle de la Sécurité routière doit avoir pour objectif de les anticiper et de prendre les mesures de prévention adaptées.

Tel est le défi du nouveau gouvernement qui va devoir réagir rapidement pour éviter le spectre d'une mortalité routière se rapprochant tuées à l'horizon 2020 des 4 000 personnes tuées dans l'année alors que l'objectif était de moins de 2 000 personnes.

Pour cela, il faudrait éviter une multiplication des mesures et proposer un plan stratégique national 2018/2020 claire, pédagogique et immédiatement opérationnel.

 

Juin 2016 : La mortalité routière de juin 2016 par rapport à celle de juin 2015 connait une baisse sensible mais insuffisamment significative (inférieur à 10%). Selon l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 281 personnes ont perdu la vie sur les routes de France  métropolitaine en juin 2016. Comparé au mois de juin 2015 où l'on avait déploré 294 morts sur ces routes, 13 personnes de moins ont été tuées, soit une baisse de -6,2%. Sur les six premiers mois de l'année, le nombre de personnes tuées est en hausse de  1,9 %, ce qui représente 29 personnes tuées en plus, par rapport aux  six premiers mois de l'année précédente. En année glissante sur les 12 derniers mois, la hausse est de 3,3%.

Il s'agit néanmoins du meilleur mois de juin jamais enregistré depuis quelques décennies. Juin 2016 ne présentait aucune particularité calendaire par rapport à 2015 avec 4 week-ends complets. D'un point de vue météorologique, ce mois est resté plutôt pluvieux alors que juin 2015 était déjà un peu plus estival. Ces conditions pourraient en partie expliquer la légère baisse de la mortalité des véhicules légers et des motocyclettes en relation avec une baisse du nombre des déplacements consécutives au mauvais temps. De la même façon, il pourrait expliquer la hausse significative enregistrée depuis le début de l'année pour les piétons

Le déroulement de l'Euro de football pouvait laisser craindre quelques dérapages comme nous en avons connu lors du Mondial de 1998. Peut-être a-t-il justement concerné les piétons mais il est trop tôt pour disposer de ce type d'analyse.

Quoi qu'il en soit, l'espérance à l'issue de ce premier semestre est de ne pas connaître une troisième année consécutive à la hausse, ce qui semble loin d'être acquis. La courbe d'évolution de la mortalité qui figure dans le baromètre de l'ONSIR montre plutôt une lente tendance à la hausse qui a débuté depuis début 2014. Il faut reconnaître que depuis l'attentat du mois de janvier 2015, la sécurité routière apparait comme un sujet secondaire par rapport à la sécurité publique.

 

Juin 2015 : L'évolution de la mortalité sur nos routes reste préoccupante. Certes, on peut se réjouir de la baisse enregistrée en juin 2015 de - 5,4% par rapport à juin 2014 mais ce résultat basé sur la comparaison d'un mois d'une année par rapport au mois de l'année précédente n'est en aucun cas un prédicteur de l'évolution en cours.

Plusieurs biais faussent ces comparaisons mensuelles. Le premier est calendaire. Ainsi, Juin 2014 est un mois avec cinq dimanche contre quatre cette année. Le dimanche (en moyenne 10 personnes tuées) est remplacé par un mardi (en moyenne sept personnes tuées) soit probablement trois personnes tuées en moins.

Juin 2015 n'a pas non plus connu de ponts qui parfois peuvent aggraver un bilan mensuel. Cela dit, le week-end de la pentecôte 2014 fut conforme à un week-end de printemps et n'a pas pesé défavorablement sur le bilan de juin 2014. Ce fut la semaine 21 du début de l'été et de la fête de la musique qui l'a particulièrement plombé. Cette semaine fut une des plus meurtrières de l'année sans qu'il soit encore  possible d'en trouver une explication, peut-être à trouver du côté des conditions météorologiques. Si la chaleur était au rendez-vous en 2015 comme en 2014,  2014 a été plus arrosé avec de forts épisodes orageux dans la deuxième partie du mois, plutôt défavorables du point de vue de l'accidentalité.

En conclusion, si on tient compte de l'effet calendaire (qui peut intervenir à hauteur de + ou - 3% dans le bilan de l'évolution mensuelle) et de l'effet de la météo (qui, elle, peut intervenir beaucoup plus fortement  à hauteur de + ou - 10%), il semble que ces effets n'ont joué que très légèrement en faveur de la baisse enregistrée.

Il ne s'agit que d'hypothèse qui n'aide pas véritablement à évaluer si la tendance de la mortalité est à la hausse ou à la baisse. Le seul indicateur qui permet de se faire une opinion sur cette tendance  est le nombre de personnes tuées sur les 12 derniers mois. Il permet de s'affranchir des effets calendaires et d'avoir un effet des conditions météorologiques qui se lissent plus ou moins sur douze mois.

La courbe mois par mois de cet indicateur est totalement stable depuis juin 2015 après avoir connu une tendance à la hausse tout le premier semestre 2014. Cette tendance à la hausse n'a donc pas été annulée au cours du premier semestre 2015. Le mois de juin 2015 confirme donc une certaine stabilité de la mortalité et non une baisse comme le laisse croire une analyse d'un mois d'une année sur le mois de l'année précédente.

Il y a par contre des indices qui rendent cette stabilité inquiétante. Cet indice est la tendance à la hausse de cet indicateur appliqué uniquement aux véhicules légers. Cet indicateur est en hausse continuelle depuis janvier 2014. Avec 1720 personnes tuées sur les douze derniers mois (50,6% de la mortalité), il revient à sa valeur de mai 2013.

Le trimestre qui s'annonce avait été marquée en 2015 par une tendance à la baisse qui ne s'est pas confirmée par la suite. Cette tendance trouvait notablement son explication par des conditions météorologiques particulières, notamment en juillet très pluvieux et très frais.

Qu'en sera-t-il de cet été qui s'annonce plutôt sous le signe du grand soleil et parfois de la canicule.

 

 

 

© 2015 Tous droits réservés.

Optimisé par le service Webnode